Bagnole?
Disons pour résumé que "la bagnole", est un mot légèrement
négatif, "c'est plein de bagnoles"... la pollution, et un certain
caractère ostentatoire des automobilistes qui se plaisent à
exister par "la bagnole".
la bagnole est une "automobile"...
La voiture, ce n'est pas seulement "la bagnole", c'est un engin de transport
confortable, le terme s'applique en fait à tout ce qui permet de
se déplacer à l'abri des intempéries: la voiture existait
avant les moteurs, et peut être sur rail (c'est un wagon passager)
Automobile n'est qu'un cas particulier de voiture, c'est une voiture
qui se meut elle même...
circuler en voiture, c'est à dire avec sécurité est confort EST À RÉINVENTER.
De quoi avons nous besoin?
- de pouvoir aller librement de chez soi à ailleurs sans contraintes
d'horaires liés aux transports, être donc AUTOnome.
Un vélo permet ceci, dans les années 1900, le vélo
avait été une véritable révolution, il avait
donné l'autonomie et permis d'accéder au "loin quand on veut"...
la performance du vélo, à l'époque, était celle
de la voiture actuellement dans tout le quotidien et les distances urbaines,
et le vélo se combinait au transports collectifs.
- de pouvoir circuler sans que la pluie, le froid, la nuit, transforme
la sortie en épreuve imprévue qui nous tombe dessus suivant
les aléas de la météo. il faut une VOITURE, pas un
vélo.
- que cette voiture ne dépende pas d'une source d'énergie
non immédiatement disponible: un cheval doit être réveillé,
attelé, et disponible.
- à cela s'ajoute le problème des distances qui a été
apporté par l'évolution de notre monde modelé par
l'automobile, problème qui restera présent dans le futur,
à cause du passé qui l'a fait.
- de plus nous avons acquis l'habitude de faire fi de l'environnement:
qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il neige ou qu'il caniculise, nous respectons
des horaires inflexibles, en totale indépendance vis à vis
de la nature: cela nous coûte beaucoup d'énergie pour faire
"ce qui se ferait sinon quand c'est le moment".
Une société non motorisée, et plus connectée
à la nature changerait de comportement suivant les aléas
climatiques, ainsi, si les conditions ne permettent pas de voyager à
grand frais de blindage anti-extérieur, on reporte et "on attend
que ça se calme". l'économie serait moins indépendante
des lois naturelles, mais aussi on aurais moins besoin qu'elle tourne à
plein régime en continu. on dira alors, ce travail?! et bien...
ça dépend du temps, et on regarderait en l'air si il y a
des cunimb qui bourgeonnent. Mais nous faisons FI de tout ça...
Nous voyons même plus le ciel et nos pendules ne sont pas à
l'heure!
Ce fi de l'environnement rend nécéssaire l'automobile
blindée pour respecter les engagements sociaux, pour rentrer chez
soi le soir... etc. Une société plus souple et moins blindée
verrait des occasions d'héberger un ami pour qu'il se rentre le
laindemain, de ne pas voir arriver les ouvriers à l'heure à
cause d'un orage. ça ferais de la variétée...
entre se ballader nez au vent et sans protection et concevoir des moyens
de transports fiables pour quand même maintenir les liens de société
en continu, il y a une nuance. La liaison continue est possible si nous
inventons la voiture... autrement... pour pas qu'elle nous bouffe... la
vie!
Nous avons besoin, en plus d'aller les uns vers les autres...
- de ressources
- d'espace
- de qualité de vie
et cela fixe les limites physique de l'automobile... avec la fin des
énergies fossiles qui étaient limitées seulement par
la pollution due à leur utilisation, vient la limite des énergie
renouvelables, qui peuvent assurer pour les 10 milliards d'habitant qui
aspirent à vivre sur la terre dans le début de ce millénaire...
à guère plus que le métabolisme de tous ces êtres!
d'où, il faudra se contenter d'énergie soumise à quotas
d'ordre de grandeur équivalente à l'énergie musculaire,
soit 1.5kwh/jour/personne pour le déplacement.
le nucléaire en grande quantité est discutable, il y
a la limite du dégagement directe de chaleur qui fait 3 à
4 fois l'énergie électrique produite. rouler au nucléaire
en auto "gabarit an 2000" reviendrait à dégager 5 à
6 kwh de chaleur par kilomètre parcouru: chaque voiture qui roule=
une chaudière de 250kilowatts soit une chaudière de 10 fois
une maison individuelle: même si il était propre, le nucléaire
ferait ainsi dégager en chaleur brute une moyenne de quelques kilowatts
par hectare de planète, ce qui est presque comparable à l'impact
de l'effet de serre! (et il faut construire les centrales, les surveiller,
les démanteler, enfouir les déchets, surveiller les déchets...
bien du touin touin en définitive)
On commence à comprendre en ville "la pollution par le nombre": la voiture n'est pas faite pour les villes, il y a actuellement une reconquète du centre ville, il suffit d'associer marche à pieds, vélo d'emprunt, et transports en commun
nous avons besoins aussi, mais nous le savons pas encore dans la masse,
D'ACTIVITÉ PHYSIQUE QUOTIDIENNE
Cela est une mesure d'hygiène et de prévention primordiale
pour éviter les maladies de confort, justement donnée par
le voyage en voiture. Le voyage en automobile fait que on ne fait même
plus l'effort de marcher jusqu'au "voitures" collectives, celle des trains
par exemple.
mais la ceinture autour du centre, la banlieue et la zone périurbaines sont "invivables" et réduites à l'état de circuit routier mélangé avec des dortoirs ou centres de confinement, les loisirs sont centralisés dans des parcs ou des clubs, et nécéssitent un déplacement "exprès", les cars, métro et bus ne désservent pas rapidement et avec un maillage suffisant ces zones, trop multiples pour avoir des lignes de transport efficace.
cette zone est fuite, ceux qui en ont les moyens s'installent en dehors
du tissu urbain dans une campagne qu'ils urbanisent donc, et sont donc
obligé à avoir une automobile pour faire des trajets de plus
de 30 à 100km, 2 fois par jour. ceux qui sont allé fuir loin
pourissent en passant les zones traversée: ils ajoutent en effet
des bruits de roulement, la pollution de l'air et l'encombrement des routes
de ceux qui sont dans les régions traversés. Les plus pauvres
et les moins enracinés, les populations "rapportés" échouent
là et vivent la grande désillusion du bonheur matériel:
leur enfants accusent le coup et deviennent violent, et la mocheté
des lieux alimente ce comportement, tel sont devenues non seulement les
banlieux, mais les campagnes dortoirs et les abords de grands axes.
En ces campagnes banlieues plus grand est le problème des multiplicité
de destination, depuis un centre ville, le tronc commun des destinations
de transports en commun se divise pas assez en branches puis feuilles,
les bus devraient se diviser progressivement en automobiles particulières.
et bien la voilà la solution: que les transports en commun
puissent s'assembler et se désassembler selon les destinations.
donner une composante aglutinatoire à l'automobile.
l'idée est simple: quand vous êtes dans une zone peut
peuplée ou ça circule peu, vous roulez seul comme un cycliste
isolé roule seul, vous allez donc moin vite, mais quand vous aller
vers des centres urbains, vous vous retrouvez très vite en compagnies
d'homologue et vous coopérez à l'avancement d'un groupe.
Si un cycliste qui seul ne va qu'à 30km/h, puis arrive sur une
route à grande circulation de cyclistes, ils se joint à un
peleton, et tous ensemble font 45km/h (et ce n'est pas pus dur), ou ils
roulent à 30 mais sans forcer, ils collectivisent seulement la pénétration
dans l'air!
L'automobile actuelle est individualiste "à fond", là
où justement l'énergie pourrait être utilisée
collectivement il y a gêne, et du coup la performance se dégrade,
et l'inconfort augmente aussi, rouler sur des routes encombrés c'est
chi..
L'idée que j'expose ici est de faire marcher un véhicule
qui est économique, de l'ordre de grandeur de la propulsion musculaire:
donc une puissance de seulement 3 watts/kilos
3 watts/kilo suffit pour quelques kilomètre et partir de chez
soi quand l'on veut.
Mais voilà, le problème, c'est pour aller vite et loin.
Quand on va loin, on débouche presque toujours assez vite sur
ce qui est actuellement une départementale, une nationale, ou une
autoroute, on est nombreux, il n'y a pas a attendre longtemps pour s'assembler
et former un train... et un train peut aller aux vitesses comparables à
l'automobile avec seulement 2.5 watts/kilo.
l'idée est donc de faire de la fitnesscar en voiture-train.
la voiture est un hybride électromusculaire qui permet aussi,
durant le transport de participer, parfois totalement à l'énergie
nécéssaire pour la locomotion. l'idée "fitnesscar"
est que l'effort, au lieu de dépendre du trajet est régulé
pour satisfaire à la condition d'endurance, et donc éviter
la composante pénible et peu efficace qui a contribué à
l'idée d'effort systématiquement fatiguant. L'enjeu n'apparait
pas évident, et pourtant il est bien réel: en pratiquant
"le fitnesscar" 1h par jour, ce qui est, je le précise TOTALEMENT
différent de pratiquer un "sport" banal, mais plutôt ÉQUIVALENT
AU CARDIO-TRAINNING de RÉÉDUCATION cardiovasculaire, la puissance
aérobie double en l'espace de 9 mois, puis se stabilise à
long terme au triple, vers 70% environ de celle des athlètes de
haut niveau de la catégorie: l'énergie musculaire ainsi produite
sans plus de fatigue devient conséquente et ouvre la voie à
des solutions qui serait irréalistes avec la puissance aérobie
moyenne des occidentaux sédentaire (30 à 50% de "normal")
Les autres bénéfices ne sont pas moindres
- disparition de tout problème de surpoids
- système imunitaire réactivé (presque plus de
maladies infectieuses)
- correction du syndrôme métabolique (on mange moins,
et on fourni de l'énergie)
Les voitures-train, hybrides électriques musculaires, une fois
sur un grand axe s'assemblent entre elles, en fait simplement en s'attendant
ou se rattrapant, s'acolent, mettent en commun l'énergie électrique,
et fendent l'air ensemble. Elle peuvent aussi passer sur rail (la résistance
de roulement diminue de 2 tiers), le rail assure un guidage facilitant
non seulement le roulement mais aussi l'assemblage et le déssasemblage.
le système marche à partir de deux et peut aller jusqu'à
un flôt quasi continue. quand une "voiture" veut s'incorporer dans
un train, en arrivant par une route latérale, elle fait une demande
d'incorporation, le train se désassemble et elle rempli le trou,
shéma inverse pour quitter le train.
l'infrastructure supportant ce système de voiture train pourrait
être les routes nationales ou départementales de gros gabarit,
la voie serai ferrée (rails inclus dans le bitume comme pour les
tramway urbain), et les voitures trains s'y agglutineraient en convoi.
Avec 2 à 3 watts/kilo, la vitesse individuelle est 30 à
40 sur le plat, mais en train, elle monte facilement à 75.
le problème est l'incorporation. dans les zones ou le train
doit absorber des voiture ou les lacher, il faut que la vitesse individuelle
puisse être la même que celle du train. On peut enviseager
un booster qui n'agit que le bref temps de rejoindre la train, pour éviter
de relentir celui ci en se plaçant à coté pour l'incorporation,
ce qui consomme beaucoup mais peu de temps.
Nous aurions avec un tel système l'individualité de la
voiture, la consommation d'énergie physique du vélo, et la
performance du train, sans les temps d'attente ni les horaires!
certes, la vitesse de tels trains de voitures n'atteint pas celle de
vrais trains, mais il peut y avoir "le ferroroutte": c'est à dire
un service installé sur l'autoroute, guidant ces trains de voitures
à une vitesse compatible avec les distances: du fait de la rareté
des entrée et des sortie, de la largeur, il est possible d'enviseager
des moyenne horaires plus importante, et on peut aussi imaginer que des
locomotive de plus forte puissance, tire à grande vitesse les voitures
wagons, avec une consommation de l'ordre du train corail, pour 120km/h,
avec ralentissement de temps en temps au niveau des sorties pour le départ
ou l'entrée des voyageurs.
et les voitures "an 2000" là dedans? elles peuvent aussi continuer
à rouler, elles ne sont pas physiquement incompatible, mais leur
utilisation est soumise à quotas, pour diverses raisons:
- la pollution qui présente un danger pour les utilisateurs
de voitures train, plus proches des athlètes que du sédentaire,
qui respirent plus. les voitures "an 2000" leur... pompe l'air.
- le coût de l'énergie: elle consomment pour le même
service 10 à 100 fois plus d'énergie, qu'elle soit électrique
ou issue de carburant.
les automobiles "an 2000" subsistent alors en tant que "Véhicules
Lourds de Tourisme" avec un quotas d'utilisation déterminé
par les tickets d'énergie, limités à 1.5 kilowatts-énergie-traduite-valeur-mécanique/heure/jour
par personne (équivaut à 5km de auto an 2000), mais à
200km/jour de "fitnesscar et voiture-train sans pédaler". elles
peuvent se louer, pour transporter des encombrants, ou pour partir en vacance,
les quotas, accumulés autorisent en effet des voyages de temps en
temps.
leur faible densité ne pose donc plus de problème quant
à l'utilisation des moyens de transports du 3eim milléaire"
récitons un mantra pour sceller le texte:
--aksébodrévé--