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C'EST LE DÉBUT: DÉCOUVREZ VOTRE ÉTAT DE SANTÉ.

Réfléchissez sur les points suivants:

Votre conception de la santé, du sport, de l'entraînement, des progrès...

Répondez vous même à cette série de questions. Et seulement après avoir formulez ce qui vous semble la bonne réponse, examinez la réponse des auteurs.

Je veux maigrir... dois je seulement augmenter ma dépense physique où dois-je remettre en question d'autres habitudes?

Est ce que cela va changer ma vie définitivement?

Je veux faire des progrès, sur le plan sportif... pourquoi faire exactement?

Je me dis que je vais "attaquer" le sport: dois je fournir des efforts important, dois-je me confronter à mes limites, apprendre à me battre contre moi même?

Et comment faire de la compétition?

Qu'est ce qui importe avant tout?

N'y a t'il pas un intérêt collectif?

Et comment gérer la vieillesse?
 
 

Propositions de réponse. Pour utilisez ces conseils, apportez y vos remarques, les auteurs seront intéressés pour peaufiner leur texte..

Je veux maigrir... dois je seulement augmenter ma dépense physique où dois-je remettre en question d'autres habitudes?
 

Maigrir oui, si vous avez effectivement du surpoids  signe d'un déséquilibre entre

- la quantité de calorie et l'exercice physique
- la quantité d'oligo éléments par rapport aux calories (exemple du pire: le sucre raffiné)
- la qualité: associations des éléments, présence ou non de produits douteux
- l'authenticité des aliments: sont ils "vrais" ou trompent t'ils l'organisme par divers artifices
il y a aussi d'autre équilibres
- l'activité intellectuelle et physique
- le spirituel et le matériel
- la solitude et la vie sociale.
- la quantité de lumière et la nuit
etc...

Vous comprendrez vite, si vous êtes attentif à votre santé, votre confort corporel, que vous devez revoir totalement les habitudes alimentaires et même certains habitudes de vie liées au rythme veille sommeil, ou été hiver. D'ailleurs vous devriez un peu vous pencher sur la notion de ying et yang de la médecine chinoise: la gestion du "Qi" est un bon conseil qui vaut pour la santé. Ils ont observé cela depuis 2500 ans, cela compte en terme d'expérience... Les conseils de vie spirituels qui émanent de l'orient sont tout aussi précieux pour ne pas gaspiller votre énergie vitale et éviter de vous trouver dans une voie sans issue à la mort. Dans cette hygiène de vie, esprit et corps étant ensemble, l'entretien de sa condition physique est aussi l'entretien d'une conscience plus claire...

En voici les points importants
Éviter les aliments issus de la grande industrie alimentaire: ils sont riches en énergie, mais pauvre en oligo-éléments, et de plus pollués par les pesticides (végétaux et animaux), pollués par les aliments chimiques (animaux), pollués par le stress (mauvais traitement des animaux en batterie), souillés par des "mauvaises énergies" (produits faits avec pour seule motivation l'argent, provenant de réseau commerciaux déshumanisés). Il vous faut des aliments riches, concentrés, pleins de vie et obtenu dans le respect de l'environnement et de la vie. Donc des produits issus des petites exploitations locales, souvent d'origine de l'agriculture biologique, et tout ce qui s'oppose à la logique des grandes exploitations industriels et gros centres commerciaux.

Est ce que cela va changer ma vie définitivement?

Oui, car si vous changez d'alimentation, vous changez les rapports avec le monde, les autres, et vous découvrirez un mode de vie différent, des loisirs différents, un contact social différent, une façon de vous déplacer et de vous organiser différente, vous pèserez ainsi moins lourd sur la planète, à tous les sens du terme. Vous entrerez en contact avec la vie. Vous apparaîtra une évidence: vivre comme un animal intelligent sous le jeu des pulsions, manipulé par les "ont dit" publicitaires ou culturels, ou acquérir du libre arbitre... et vivre en humain, voir en sage: à vous de choisir. Et ce changement doit être définitif: il ne s'agit pas de faire un régime temporaire, les résultats seraient temporaires aussi. Vous ne désirez pas jouer le rôle d'un gars en bonne santé dans un film, acquérir de la conscience,  pour ensuite redevenir "comme avant", d'ailleurs pour la conscience revenir en arrière serait difficile, vous ne désirerez même pas redevenir comme avant, ce serait régresser.

Je veux faire des progrès, sur le plan sportif... pourquoi faire exactement?

Pour que la vie soit moins dure: la vie n'est t'elle que de vivre assis ou couché? Et de faire le reste par "procuration" via un moteur, via la vie d'autre par des médias? Le repos en est t'il vraiment un quand lors d'occupation sédentaires le coeur bat, vers 100 pulses comme il le ferait normalement en situation d'effort? (à 100 pulses un athlète fait déjà 9km/h en kayak de mer, monte 550m/h en montagne ou fait 24km/h en vélo randonneur, alors qu'à 100 pulses un sédentaire digère devant la télé)
En redevenant apte à l'effort, vous obtenez du repos plus profond (la fréquence cardiaque peu descendre plus bas, le métabolisme de base prend alors 25 à 30% de vos ressources au lieu de 50). La liste est non complète, cela occuperait des pages mais, entre autre vous aurez plus de plaisir à, manger, à marcher, à penser car plus de force pour réfléchir, le cerveau sera mieux irrigué et vous serez mentalement plus libre, vous serez moins stressés, vous attraperez moins facilement des maladies, les montagnes seront 3 fois moins "hautes", les distances 5 fois moins grandes quand vous êtes piétons: rien qu'à pieds votre rayon d'action dans l'espace naturel encore préservé des moteurs s'étendra sur des distances insoupçonnées auparavant: vous serez physiquement plus libre. Un mode de vie plus écologique est possible, vous serez moins frileux, vous mangerez moins, vous salirez moins les draps, les vêtement, car vous transpirerez moins, vous aurez moins besoin de confort coûteux, moins de frais: vous serez spirituellement plus libre, car en évitant de nuire vous récoltez en retour les bénéfices de cette participation au bonheur collectif.

Je me dis que je vais "attaquer" le sport: dois je fournir des efforts important, dois-je me confronter à mes limites, apprendre à me battre contre moi même?

Non justement: vous devez restez en équilibre avec vous même, non en conflit avec une de vos parties ne pas "vous faire mal": vos efforts doivent être modérés, et sans être pénibles il vous apporteront des résultats gratifiants: les résultats durables sans la souffrance, une performance bien plus importante et sur des durées plus grandes que si vous tombez dans le piège de vous dire "j'y vais je fais du sport, et je fonce!", ne foncez pas justement, démarrez progressivement: vous irez plus loin et les résultats viendront sans dégâts.

Et comment faire de la compétition?

en gérant les compétitions comme des entraînements et les entraînement comme des compétitions: en se réglant sur le bon compromis...

En vous retenant justement de forcer avant l'autorisation, et même vous forcerez selon un dosage précis: le meilleur de vous même ne s'obtient pas à fond, mais juste un peu moins, car à fond, à 100% physique, il n'y a plus les "à cotés" tels la gestion ou la technique. Il vaut mieux être à 97% avec 100% de rendement que à 100% avec 90% de rendement, d'où ces impressions de n'avoir pas été à fond lors des performances les meilleures... car justement c'est le cas, ce n'est pas tout à fait à fond qu'on est le meilleur, mais au bon compromis. Voyez la différence: entre tout à fait à fond et juste au bon compromis pour la meilleure performance il y a une énorme différence: le fait que l'on gère l'effort. Cette gestion est très présente dans les courses longues: il s'agit en effet de les gérer comme un entraînement: en se fixant le pourcentage compatible avec la relation puissance possible durée prévue , par exemple, si on part pour un marathon, on ne part pas comme pour un 5000m... une connaissance précise des allures, aux sensation s'impose. La précision est même ettonante (de l'ordre de 1% puissance près sans appareils de contrôle)

Les entraînements ne sont pas des courses, il ne s'agit pas de se taper un chrono chaque dimanche matin. Pour transformer un entraînement en compétition imposez vous une contrainte: faites le à x% d'effort et évaluez vous en fonction du même x% d'effort (principe des paliers sous maximaux), mais ces x% seront bien loin des limites imposée par la relation effort-max pour durée fixée, ou celle de l'effort/souffrance. C'est une gestion sur des sensations souvent moins précices puisque loins de limites sensibles...
Le principe de l'entraînement de compétition est de vous tenir à travailler à un pourcentage connu du maximum (entre 40 et 80% de puissance suivant les séances, presque toujours entre 40 et 60), et non pas au maximum. Vous pouvez si vous en avez besoin poser des "challenges" sur les performances obtenues ainsi: faire le meilleur possible tout en respectant la limite de votre zone d'entraînement: vous apprendrez ainsi l'économie d'énergie, et améliorerez la "technique": pédaler plus rond, marcher plus souple, ramer sans faire sloppoflarscharaflop... Le maximum, c'est juste pour les courses, et pas plus de quelques fois par an, quand vous êtes prêts: patience ça viendra.

N'envisagez la compétition "maximale" que après 2  ans de remise en forme. Mais si vous voulez faire de la compétition quand même, n'hésitez pas à vous inscrire dans des épreuves du coin, et allez y comme cela libre d'envie de gagner, mais simplement d'envie de voir, et faite les non pas à fond mais à 80%, comme une séance d'entraînement à la puissance!  Rassurez vous, en faisant ainsi, vous ferez à 80% ce qui aurait demandé un impossible 200% en faisant votre chrono du dimanche matin!!! Vous finirez par ne même pas avoir un écart important avec les vrais athlètes de votre catégorie d'âge et poids... au lieu de rester médiocre et de croire que ils sont favorisé génétiquement.

Qu'est ce qui importe avant tout?

La liberté de se pouvoir se mouvoir sans artifices: si le vélo, la fitness-car sont justement des "artifices", la santé qui résulte de leur pratique favorise pourtant la marche à pieds, la course à pieds, n'importe quelle tâche qui faite sans moteur ni outil, qui serait trop fatigante sans adaptation à l'effort.

N'y a t'il pas un intérêt collectif?

Une fitness-car est un véhicule qui fait moins de nuisances que le vélo: en effet, sur les voies où cohabitent vélos, rollers et piétons, la fitness-car autorise des vitesses plus régulières sans frustrer son conducteur. Il suffit de pédaler à son rythme et de réguler à l'alternateur ou au moteur la vitesse "imposée" par le parcours: par exemple, ne pas dépasser 20km/h sur une voie verte, ou au contraire ne pas boucher une rue étroite en pente. Vous y trouvez votre compte (votre entraînement se passe comme il le faut), les autres aussi (vous n'allez pas à des vitesses excessive, vous surprenez moins, vous n'avez même pas plus d'encombrement, quelques cm plus large mais trajectoire plus précise en raison de l'équilibre)
Comme de plus, la fitness-car est une alternative à la voiture, pour des trajets qu'on ne ferait pas en vélo (besoins de charrier des objets, intempéries, fatigue...), comme la pratique quotidienne implique un remplacement au quotidien d'une voiture par un moyen de transport à faible nuisance, cela fait une voiture de moins sur la planète, et environ plusieurs kilo watts-heures d'économie d'énergie.
Il faut voir aussi que si vous êtes en forme, vous délaisserez plus facilement des loisirs ou activités à forte nuisances: il ne vous sera pas impossible, et même ce sera agréable de tondre une pelouse avec une tondeuse mécanique au lieu d'une à moteur, de scier du bois avec une bête scie à main au lieu d'une tronçonneuse, ou de visiter un massif montagneux à pieds au lieu d'utiliser un quad ou un quatre quatre... ce sont des nuisances en moins pour autrui, et pour vous un plaisir de la vie plus authentique: il est réellement plus agréable de ne pas souffrir aussi soi même du bruit de ces engins, et quand il s'agit de "petits travaux" domestiques, bien souvent même la rapidité de mise en oeuvre des moyens mécanique, immédiatements prêts à l'emploi et plus facile à transporter, compense leur lenteur lors de l'action.

Et comment gérer la vieillesse?
La vieillesse se caractérise par une baisse de la fréquence cardiaque maximale. Si il reste "des pulses" disponibles, pas de problèmes de santé, simplement une baisse de la puissance.
        mini          maxi
---------80-------------200 pulses
---------80---120 avec le viellissement, le maxi fini par se rapprocher du maxi, ne laissant pas de place pour l'effort, de plus le miminum finit par correspondre à un effort relativement aux possibilités.
---------50--------------------------200 pulses
---------45----------------140 Mais si on s'est bien entraîné, la même perte avec la vieillesse laisse encore de la place... et le minimum reste bien en dessous de 50% du métabolisme possible.
 

Si la puissance limite baisse un peu, bien sur les possibilités seront moindres mais c'est normal.
En revanche, si la puissance est, alors qu'on est jeune à peine suffisante pour marcher par exemple, une fois vieux, les fonctions vitales de bases peuvent tout monopoliser... Presque rien faire devient fatiguant, exactement comme un marathon. Plus grave, carrément rien faire est simplement se fatiguer un peu moins, mais quand même se fatiguer, il n'y a plus de repos possible.
Si on obtient par l'entraînement de la disponibilité pour l'effort quand il est encore simple de la faire, alors une fois vieux, il reste possible de se reposer en ne faisant rien, et de pouvoir faire quelque chose sans être "dans le rouge".
C'est pour cela qu'il importe de conserver une fréquence cardiaque de repos loin de sa fréquence cardiaque maximale, et pour cela rien ne vaut le fait de faire une heure par jour de l'endurance.

jeune avec activité physique
-métabolisme-repos--|----marge-de-disponibilité--|
--------------------|---------/endurance/épuisant/
---rien faire ------|-----marcher/courir/trèsvite/

... une fois devenu vieux
-métabolisme-repos--|----marge-de-disponibilité--|
--------------------|--/endurance/épuisant/<--baisse
---rien faire ------|-----marcher/courir/trèsvite/
Peut tout de même marcher longuement...

Mais SI le jeune sédentaire est déjà à 25 ans bien en dessous de ce qui serait normal à 70!
voici le cas le plus fréquent:
jeune sans activité physique
-métabolisme-repos--|----marge-de-disponibilité--|
--------------------|-/endurance/épuisant/
---rien faire ------|-----marcher/courir/trèsvite/

Une fois devenu vieux...
-métabolisme-repos--|----marge-de-disponibilité--|
--------------/endurance/épuisant/<--baisse
---rien faire ------|-----marcher/courir/trèsvite/
s'épuise en marchant, ou parfois même en faisant rien!

Et de surcroît, étant comme "en endurance" pour "rien faire" s'épuise même sans bouger, à la longue, les problèmes cardio-vasculaires et le manque de vitalité générale qui résulte du stress précipite tous les problèmes de "maladies de confort"